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Maurice Dumontet : “L’OL, c’est ma vie” (archive printemps 2010)

Maurice Dumontet, 65 ans, n’a pratiquement pas raté un match à Gerland depuis 40 ans !

Une passion dévorante
“J’ai eu un déclic vers 16 ans en allant pour la première fois à Gerland. Au début, je trichais en passant à travers les grilles pour voir les matchs ! Puis, après avoir passé mon service militaire au milieu des années 1960, je n’ai quasiment plus loupé une rencontre à Gerland depuis. Sauf quand j’étais pris par mon boulot de policier. Je suivais alors les matchs à la radio dans les commissariats où je travaillais : Vénissieux, Bron… Puis, dans les années 1980, j’assistais aux rencontres debout sous les voûtes du virage nord, en uniforme, pour assurer la sécurité. Je m’étais débrouillé pour être affecté à Gerland les soirs de matchs. Puis de 1993 à 2005, j’ai carrément travaillé à la sécurité de l’OL – en plus de mon métier de policier – en tant que chef de poste au virage nord. Je n’ai jamais voulu de mutation à cause de l’OL ! Pourtant ma femme, Gabrielle, qui adore la Vendée, aurait aimé qu’on déménage. Mais c’est ma vie l’OL… Je ne vis que pour l’OL… Je ne parle que de l’Olympique lyonnais, c’est pratiquement une drogue.”

Famille
“J’ai filé le virus à presque toute ma famille : mon fils, Robert, 38 ans, est encore plus fada du club que moi ! On est abonnés en virage nord supérieur où on va à tous les matchs avec ma petite-fille, Amandine, 21 ans, ou mon petit-fils Jérémy, 15 ans, et mon gendre, Roland, 42 ans. Mais dites qu’il a 41 parce qu’il ne supporte pas le nombre ...




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