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Expatrié

Sidney Govou : “Un truc de fou” (archive été 2011)

Après une décennie à l’OL, Sidney Govou voulait du changement. Au Panathinaïkos, il est servi ! Le septuple champion de France raconte sa première saison à Athènes. Plongée au cœur du volcan grec.

Athènes
“Dans ma vie quotidienne, tout a changé puisque, forcément, mes repères accumulés à Lyon pendant 12 ans ont disparu. Au départ, le club a donné des cours de grec aux nouveaux comme Jean-Alain Boumsong ou moi. Mais ne pas pouvoir lire et devoir commencer à apprendre leur alphabet, c’était un sacré handicap. Donc on a été assidus à peine un mois et on a laissé tomber. On n’a pas tous lâché en même temps mais je ne dirais pas qui a abandonné le premier ! Du coup, ce n’est pas évident de se faire comprendre au quotidien. Surtout que les Grecs n’ont pas la même façon de bouger la tête pour dire “oui” ou “non”. Quand un mec fait “oui” de la tête, en fait, ça veut dire “non” ! J’ai mis du temps à piger… Heureusement, contrairement aux Français, la majorité des Grecs parlent anglais. J’habite dans le quartier de Voula, au bord de la mer. Je vis dans un appartement à 100 mètres de la plage, avec ma femme, Clémence, et mon fils, Marley, 2 ans. Cissé et Boumsong habitent à cinq-dix minutes de chez moi. Quand des amis viennent nous voir, je les emmène visiter les monuments de la ville, dont l’Acropole bien sûr que je connaissais déjà depuis des voyages avec l’OL en Ligue des champions pour affronter l’Olympiakos (1). Niveau climat, il fait vraiment très chaud. Le truc ici, c’est qu’il fait presque beau en permanence. Du coup, quand vous vivez des moments ...




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