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Expatrié

Maxime Gonalons : “J’étais préparé” (archive hiver 2018)

Après 17 ans à Lyon, Maxime Gonalons vit une première expérience à l’étranger cette saison à l’AS Rome. L’ancien capitaine de l’OL raconte sa nouvelle vie.

La Roma
“C’est un club passionné avec des tifosi bouillants. A Rome, le football est une religion : quand on joue le week-end, la ville s’arrête car tout le monde est devant la télé ou au stade. Au niveau de la pression médiatique et populaire, c’est différent de Lyon et on sent beaucoup d’attente, avec une obligation de résultat au quotidien. Je n’ai pas encore connu de crise ici et j’espère ne pas en vivre car on sent que ça peut vite devenir chaud… D’ailleurs, toutes nos séances au centre d’entraînement de Trigoria sont à huis clos, ça permet de travailler dans le calme. Mais dès qu’on en sort, les supporters sont toujours là et c’est assez impressionnant : certains se jettent même sur ta voiture ! Du coup, tu as intérêt à t’arrêter… Ici, j’ai aussi découvert un autre derby, Roma-Lazio. J’ai d’ailleurs vécu mon premier le 18 novembre. On l’a gagné 2-1, et ça, c’est très important. (Rires) J’ai évidemment connu énormément de derbys entre Lyon et Saint-Etienne, mais celui de Rome est spécial car ce sont deux grands clubs dans la même ville. Un cas fréquent en Italie, qu’on retrouve notamment à Milan ou Gênes. Et comme on partage le même stade, lors d’un derby, l’équipe “visiteuse” a droit à un virage entier pour ses tifosi, donc il y a 20 000 supporters adverses alors que tu joues à domicile. Et, forcément, tu peux croiser tous les jours dans la rue des fans de la Lazio. Et dans ces cas-là, on ne ...




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