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Technique

Miralem Pjanic : « Je n’ai plus peur » (archive hiver 2010)

Miralem Pjanic, 19 ans à peine, s’est imposé à l’Olympique lyonnais cette saison. Il analyse son jeu.

Comment vous avez démarré le foot ?
Miralem Pjanic : Mon père, Farhudin, a été joueur professionnel en Bosnie puis au Luxembourg. Il s’entraînait le soir et je l’accompagnais. C’est comme ça que j’ai commencé à aimer le foot. Et je me suis inscris vers 6 ans au FC Schifflange au Luxembourg où j’ai tout de suite démontré des capacités : je marquais beaucoup de buts, j’étais surclassé dans mes catégories d’âge… J’ai d’ailleurs été sélectionné en équipe nationale du Luxembourg des 15 ans alors que j’avais 13 ans et demi ! Le foot est vite devenu ma priorité contrairement à beaucoup de mes partenaires : quand je perdais, je pleurais de rage. Alors que les autres s’en foutaient un peu… Moi, j’étais partout, devant, derrière, je voulais marquer, gagner absolument… Puis à 14 ans, alors que plusieurs clubs en Europe me voulaient, notamment en Allemagne, j’ai finalement signé à Metz, car c’était à seulement une demi-heure de chez moi.
Votre avez vite progressé à Metz ?
Oui, en étant encore surclassé rapidement. Je suis né en avril 1990 et j’ai pourtant d’abord joué avec la génération 89 en 16 ans puis la génération 88 en 18 ans. Puis, j’ai fait mes débuts en pro contre le PSG en août 2007 à 17 ans et je n’ai plus jamais quitté l’équipe première.
Mais comment expliquer une réussite si précoce ?
L’éducation de mes parents a joué un grand rôle. Ils m’ont appris le respect de tout le monde, écouter ...




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